Adrénochrome

Gérard Fauré a créé le buzz chez Hanouna en parlant de trafic d’enfants et d’adrénochrome.

Qu’est-ce que l’adrénochrome ? A ce stade, la question reste ouverte : fantasme ou réalité ? D’après la rumeur, ce serait le sang récolté sur enfants souvent pré-pubères après tortures, sodomisation et même mutilation à vif. La terreur et la souffrance de ces enfants martyrisés feraient de leur sang un élixir de jouvence qui serait ensuite acheté très cher et ingéré par l’élite hollywoodienne et politicienne. Cette substance serait extraite de la glande pinéale et utilisée par les élites comme sérum surpuissant. Souvent après la récolte de leur sang, ces enfants seraient sacrifiés lors de rituels sataniques.

Bien sûr, on se dit qu’on est en pleine démence. Comment pourrait-il en être autrement ?

Il y a ceux qui y croient et ceux qui s’offusquent de cette « intox ». Entre les deux, on a l’impression d’assister à match de tennis avec les arguments que chaque partie se balance.

En fait, bien souvent, on finira par croire ce que sa propre personnalité nous dicte : les non-vax, les cyniques, les désabusés, les anti-système seront plus aptes à créditer la thèse de l’adrénochrome. Les autres, bien sûr, à traiter le concept de folie pure.

De toute manière, à l’heure actuelle, on ne peut ni prouver que l’adrénochrome existe ni qu’il n’existe pas. Un peu comme l’existence de Dieu, en somme.

On peut donc s’arrêter là. Ou comme Blaise Pascal, faire un pari intellectuel osé :  «Examinons donc ce point, et disons : « Dieu est, ou il n’est pas. » Mais de quel côté pencherons-nous ? La raison n’y peut rien déterminer : il y a un chaos infini qui nous sépare. […] Par raison, vous ne pouvez défaire nul des deux. »

Reprenons un peu le concept pascalien du pari : si l’on ne peut rien prouver, n’est-il pas dans notre intérêt d’imaginer que ce que nous ne pouvons appréhender existe ?

Il me semble nécessaire de faire le point sur ce dont nous sommes absolument certains afin de nous faire une opinion la plus juste possible.

1. Entre 1988 et 2003, des centaines de milliers de filles entre 8 et 16 ans ont été violées et exploitées sexuellement par des Pakistanais dans les villes anglaises de Rochdale, Sheffield, Huddersfield, Oxford, Rotherham, Bradford. On parle même d’1/2 million de filles sur 40 ans. Fake news ? Pas du tout, c’est documenté. Et tout le monde était au courant, la police, les services sociaux, les autorités. La peur d’être victime de représailles et d’être traité de raciste a incité tout le monde à se taire.
2. Jimmy Savile était une personnalité britannique médiatique très connu et très respecté au point d’être devenu le conseiller officieux du Prince Charles. A sa mort, il fut révélé qu’en l’espace de 50 ans, il avait violé presque 600 personnes de 5 à 75 ans. En tant que réalisateur de projets artistiques de la BBC et dans l’exercice de ses « œuvres de charité » il « visitait » les hôpitaux et les personnes dépendantes. Plusieurs investigations ont été menées au cours du temps. Toutes furent étouffées.
3. En France, on sait que tous les pédophiles ont droit de cité et qu’ils sont protégés : de Jack Lang à Jean-Luc Brunel, en passant par Cohn-Bendit et Frédéric Mitterrand, les noms sont nombreux et très connus : Jérémie Ladreit de Lacharrière condamné à une seule année de prison pour possession de 4 000 fichiers de viols d’enfants de 4 à 14 ans ; le juge Olivier Bailly mis à pied pour avoir mis sa fille en vente sur Internet ; Olivier Duhamel, ex-président du Siècle, qui reste libre et dont on ne sait pas qui, à part son beau-fils, il a bien pu violer… Michel Joubrel, haut magistrat, était en possession de 10 à 15 000 photos de viols d’enfants et de bébés «  à la limite du supportable » diront les enquêteurs. Michel Joubrel écopera de 8 mois de prison avec sursis.Et c’est compter sans les réseaux comme celui de l’affaire des Ballets Roses.

Ce que ces affaires nous apprennent, c’est que les pédocriminels sont non seulement protégés au plus haut niveau des états mais qu’ils sont l’État et que les victimes, rien qu’en Europe, se chiffrent par millions.

Enfin, me direz-vous, ce n’est pas parce que la pédocriminalité existe – ce qu’au demeurant personne ne nie – que les participants vont jusqu’à sacrifier leurs victimes et boire leur sang !

Euh…

Quand Megan Fox calmement dit qu’elle et son compagnon boivent le sang l’un de l’autre, elle ne plaisante pas. « Yes, we do consume each other’s blood on occasion. It is for ritual purposes only. ¹» Elle ne semble d’ailleurs pas considérer qu’il s’agit là d’un acte exceptionnel.

Quand Angelina Jolie dit que Billy Bob Thornton et elle ont signé un « contrat de sang » : “We kind of signed our life away to each other legally and with blood, that there’s no possible way we can separate or walk away from this », on ne peut guère supposer qu’elle plaisante. Et d’autant moins après qu’une ancienne vidéo a refait surface dans laquelle, elle parle de participation à un rituel satanique.

Quand Marina Abramovic organise des soirées appelées “Spirit Cooking” au cours desquelles des célébrités mangent des pâtisseries à forme humaine dont certaines baignent dans ce qui paraît être du sang, bien sûr, c’est de l’art. Rien à voir avec le satanisme.

Et puis, quand bien même, me direz-vous. Si ces célébrités veulent se faire plaisir en participant à des rituels satanistes, quelle importance ?

Certes, oui.

Cependant, quand Dabhia B. la tortionnaire de la petite Lola l’a eue découpée en morceaux, n’a-t-elle pas clamé fièrement qu’elle avait bu son sang ?

Et d’où proviennent ces images qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux ? Est-ce que ce sont des montages ?

Et tous ces témoignages ?

On peut peut-être faire fi d’un seul témoignage mais comment les mettre sous le boisseau quand ils se comptent par dizaines ?

Ce qu’on y apprend, c’est qu’il existe des rituels satanistes où les enfants sont enchaînés, puis torturés, violés et mutilés. Certains sont lâchés dans des parcs privés pour y être traqués comme des bêtes et exécutés.

Voilà le témoignage d’une fillette recueillie par Elise Lucet que l’on ne peut guère accuser de complotisme. On voit cette enfant dessiner des hommes en robe blanche avec le symbole des francs-maçons et ce qu’elle décrit n’est pas de la science-fiction.

Et il y a l’affaire Hillary Clinton – Huma Abedin qui remonte à 2018. Elle commence de façon anodine. Anthony Wiener, l’époux d’Huma Abedin, envoie une photo de son sexe en érection à une jeune fille. Les parents avertissent la police qui se rend au domicile conjugal et saisissent l’ordinateur portable de Wiener. Ils ne s’attendaient pas à trouver des vidéos d’Huma Abedin et d’Hillary Clinton, torturant une fillette de 10 ans, enchaînée à un arbre. Elles vont découper « chirurgicalement » le visage de la gosse encore vivante, l’éventrer et manger certains morceaux de sa glande pinéale qu’elles ont retirée avec ce que le policier décrit comme un « forceps ».

Pour écouter le témoignage du policier qui a vu la vidéo : c’est ici en anglais.

A l’époque, Sidney Powell, une haute magistrate américaine, fut la seule à s’en offusquer.

Bizarrement, quand on tape les mots-clés « Sidney Powell Anthony Wiener laptop » l’extrait auquel on a droit a été habilement coupé de manière à laisser Hillary Clinton hors du coup.

Et pour finir, il y a le témoignage de Robert David Steele,  ancien officier des Marines, et ex-membre de la CIA. On ne peut guère l’accuser de complotisme quand il dit :

« Nous avons réuni des témoignages qui parlent du lien entre la pédophilie et le satanisme. (…) Le phénomène est laissé en-dehors du contrôle du judiciaire à la fois parce que la police est soumise au chantage mais aussi parce que c’est la drogue des élites. » (Toutes les citations suivantes de Robert David Steel proviennent du même article du Daily Compass) ²

Il ajoute que des milliers d’enfants sont enlevés, violés et sacrifiés à Satan et le lien est réel qui unit la pédophilie, le satanisme et l’élite. Son point d’ancrage réside dans les cercles du pouvoir américain, et plus largement occidental. Mais le pire est à venir.

Robert David Steele précise :

« Pedophilia is « off limits » to the police including Scotland Yard and the Gendarmerie in all countries because pedophilia is the privilege of royalty, of parties in power, of billionaires, and of celebrities. It is a form of cocaine, not least because apart from the excitement of abusing a child with impunity, there is also the drug adrenochrome, the blood laced with adrenaline that results from the torture of a child before its blood is harvested. So the word that children’s adrenochrome is used as a drug is not just a story. It is very real and can be flash frozen for transport. »

Ma traduction pour ceux qui ne comprendraient pas l’anglais :

“La pédophilie est zone interdite aux FDO que ce soit ceux de Scotland Yard ou de la Gendarmerie de tous les pays parce que la pédophilie est le privilège de la royauté, des partis au pouvoir, des milliardaires et des célébrités. C’est une forme de cocaïne, et pas des moindres, parce qu’à part l’excitation provoquée par le viol d’un enfant en toute impunité, il y a aussi la drogue adrénochrome, le sang gorgé d’adrénaline qui résulte de la torture d’un enfant avant que son sang ne soit récolté. Donc la rumeur que l’adrénochrome des enfants est utilisé comme drogue n’est pas qu’une légende. C’est très réel et l’adrénochrome peut être surgelé pour le transport.”

                 Alors à présent, c’est à chacun qu’il appartient de se faire une opinion. Mais il serait bon que ce ne soit pas au détriment des enfants.

Laurence Esbuiée, le 12 mars 2023

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