On ne devrait jamais écrire à chaud et encore moins sous le coup de la colère. Cette règle d’or, je vais la transgresser tellement je suis, comme nombre de mes compatriotes, ulcérée par le calvaire vécu par la petite Lola et le traitement médiatique qui s’en est suivi – ou pas.
La France se partage en deux clans irréconciliables, d’un côté les patriotes (aussi traités d’extrême-droite et de fachos) et de l’autre les bien-pensants (aussi désignés par le terme d’islamo-gauchistes)
Quelle que soit la dénomination que l’on donne à ces deux groupes, il est certain qu’on est en présence des prémices d’une guerre civile en devenir. Tous les signes sont là, pour qui veut les voir.
Le vrai problème de la bien-pensance n’est pas d’être humaniste ; c’est de cacher tous les faits qui dérangent, de les balayer sous le tapis. Ayant très longtemps appartenu au cercle de la bien-pensance moi-même, je sais de quoi je parle.
Ainsi quand Sandrine Rousseau, députée de son état, twitte : « Les meurtriers et les meurtrières ne peuvent être ramenés à une couleur de peau, une religion ou une nationalité, sauf à tomber dans les heures les plus sombres de l’humanité. Le francocide n’existe pas. », c’est oublier un peu vite que les 4 personnes arrêtées en lien avec l’assassinat de Lola, fillette de 12 ans, sont des Algériens qui n’auraient pas dû se trouver sur le territoire français et que s’il y avait moins de laxisme et de frontières grandes ouvertes, la petite serait en train de planifier ses vacances de la Toussaint avec ses parents au lieu d’être retrouvée violée, démembrée et jetée dans une valise.
Alors non, ce n’est pas une couleur de peau mais oui, il y a bien là un choc civilisationnel. Après tout, avant l’arrivée d’islamistes sur le territoire national, la peur de se faire égorger ou poignarder en pleine rue par des étrangers n’existait pas. Samuel Paty n’a pas été égorgé par un chrétien mais par un islamiste tchétchène.
Quand Clémentine Autain, grande copine de Sandrine Rousseau, twitte que « Ce qui s’est passé le 17 octobre 1961 est un crime d’État. Le massacre des manifestants algériens à Paris entache l’histoire de notre République. Contre l’oubli, exigeons la vérité et la justice » c’est oublier un peu vite qu’elle n’était pas née – et moi non plus, comme la majorité de nos compatriotes – et que le devoir de mémoire est l’apanage des historiens, pas d’une députée grassement payée pour faire l’ânesse à l’Assemblée Nationale en cravate alors que des soignants suspendus sans salaire depuis plus d’un an par Macron et McKinsey attendent toujours d’être réintégrés et ce, dans le silence assourdissant de la Nupes.
Mentionner un massacre de militants algériens en France qui s’est produit il y a 61 ans, se serait peut-être justifié si Mme Autain avait ne serait-ce qu’évoqué la mémoire de cette pauvre Lola martyrisée.
A ce jour, on attend encore. Pourtant, si ma mémoire est bonne, pour la racaille Adama Traoré, Autain est descendue dans la rue et a twitté tant et plus en sa défense. On constatera que la photo de Traoré est un dessin qui n’est en rien fidèle à l’original.
C’est sûr que là, la « couleur de peau » si violemment décriée par Sandrine Rousseau a certainement dû jouer car son casier judiciaire ne plaidait pas en sa faveur : recel, violences volontaires contre les forces de l’ordre, outrages, extorsions avec violence, menaces de mort, conduite sans permis, usage de stupéfiants, vol et viol…. La liste est longue mais n’a pas empêché un hommage appuyé de toute la gauche à la mémoire d’un gars qui à 21 ans avait à peu près commis tous les crimes qu’il est possible d’imaginer.
Quand un procureur, sous le pseudo de Sir Yes Sir, écrit : « Seul mon respect de ma TL m’empêche de partager 1 gros GIF de vomi face à l’indécence des réactions qui instrumentalisent la mort d’une enfant. Vous n’êtes pas indignés, vous n’êtes pas terrassés par l’ignominie de ce drame : vous vous en servez, comme des vautours. Ignoble. », c’est oublier un peu vite que la « justice » n’en a plus que le nom et que la colère du peuple gronde contre tous ces juges, ces procureurs, ces ministres qui prennent systématiquement fait et cause pour les racailles ; c’est oublier un peu vite que l’agresseur de Marin Sauvajon, un certain Yanis, vient tout juste d’être libéré un an et demi avant l’heure après une peine très légère de six ans de prison par le Procureur de la République de Roanne alors que le pauvre Marin qui avait devant lui de grandes perspectives d’avenir se retrouve avec des dommages irréversibles au cerveau et ne pourra jamais plus mener de vie normale.
J’entends dire ici et là que les crimes ne sont pas l’apanage des musulmans et des étrangers, qu’après tout Nordhal Lelandais est également un criminel et que la petite Maélys n’a pas connu un sort plus enviable que celui de Lola. Et donc qu’on ne doit pas stigmatiser les pauvres migrants.
Mais c’est justement là le cœur du problème : n’a-t-on pas assez de criminels, de pédophiles et de tarés en France sans vouloir à toute force en importer ?
Plus de 360 personnes seraient encore en vie aujourd’hui si nous n’avions pas laissé la porte grande ouverte à toute la lie de l’humanité au motif que nous étions une terre d’accueil nourricière.
En 10 ans, les musulmans ont perpétré au nom de leur foi 360 assassinats sur le sol français.
→On arrive à un total de 360 morts |
A cela s’ajoutent les crimes gratuits anti-blancs, ceux d’Axelle Dorier, Adrien Perez, Théo Perrelle, Sébastien Pierru, Baptiste Jean-Jacques, François Maës, Gaëtan Gobert, Jean-Pierre Cayet, Jean-Michel Camphin, Philippe Monguillot, Théo de chez Bouygues et maintenant la petite Lola et bien d’autres encore.
Puis les crimes antisémites, comme ceux de Ilan Halimi et Gisèle Halimi ou le passage à tabac du jeune Rudy.
Imaginez l’horreur et la consternation générale, la révolution dans les quartiers si les chrétiens avaient tué 360 musulmans en France ces dix dernières années au cri de Montjoie ! Saint Denis ! Cela aurait été inacceptable.
Mais l’inverse n’est pas vrai. Il suffit de les déclarer « déséquilibrés » pour voir toute l’affaire enterrée.
Je suis dévorée d’une haine implacable quand je vois Macron glorifier le ballon d’or de Benzema, ou Darmanin en extase au théâtre Antoine à Paris alors qu’ils n’ont pas eu un mot pour la petite Lola ou ses parents, comme si l’enlèvement d’une fillette, son viol, sa décollation n’étaient après tout qu’un fait divers dans une France où la violence envers une portion de la population blanche serait tout à fait acceptable.
C’est triste à dire mais la France à tous égards, politique, économique, industrielle et criminelle, s’est tiers-mondialisée. Et on entérine le fait sous couvert d’humanisme.
Je suis minée par la fureur quand je lis que nous instrumentalisons la mort de la fillette, que nous en profitons pour cracher notre venin parce que nous serions de méchants racistes. Je crois qu’à un moment, il faut savoir dans quelle société nous voulons vivre et quelle société nous voulons laisser à nos enfants.
Cette accusation de racisme pour le moins agaçante – comme s’il était devenu raciste de ne pas vouloir être violés, poignardés et égorgés à tous les coins de rue – n’est rien à côté de ce qu’elle cache. Car à force de balayer toute la poussière sous le tapis, on finit non seulement par ne plus se poser les bonnes questions mais par aider, de par son silence, le trafic international d’êtres humains et de leurs organes.
Karl Zéro a dit et répété que l’enlèvement de la petite Maélys avait été une « commande ». On sait que la petite Lola avait un zéro et un 1 inscrits en rouge sous chaque pied. La question est pourquoi ? Le trafic d’organes a bel et bien été mentionné. Bien entendu, selon les autorités, « cette piste n’a jamais été sérieusement envisagée ».
Bien entendu. Cachons la poussière sous le tapis. Ni vu ni connu. Dabhia, la « pauvre migrante » qui aurait dû quitter le territoire français sera considérée comme « déséquilibrée » par le juge lors de son procès. Elle sera mise dans une institution et gageons qu’elle sera de nouveau dehors dans moins de 10 ans. Et ne sera pas expulsable à ce moment-là.
L’autre question que la sphère gauchiste ne se pose pas est celle-ci : puisque l’on sait que les victimes de l’attentat de Nice ont tous eu leurs organes prélevés sans le consentement de la famille, ne peut-on pas supposer qu’il est bien tentant qu’il y ait un maximum de victimes ?
Rappelons quand même que l’attentat de Trèbes dans lequel périt le commandant Arnaud Beltrame avait connu sa répétition générale – une simulation d’attentat justement dans un supermarché – quelque temps avant.
L’immigration massive apporte la balkanisation du pays donc son morcellement et sa disparition. Et la guerre larvée qui ne dit pas son nom rapporte tellement gros ! Un rein ? Entre 20 000 et 160 000 dollars. « No questions asked ».
Car enfin, on peut soit accréditer le déséquilibre mental de la dénommée Dabhia soit se demander si elle en était à son coup d’essai.
D’après la Provence, après avoir assassiné la pauvre petite, l’avoir lardée de coups de couteau et pratiquement décapitée, elle aurait bu son sang et répliqué aux enquêteurs que « Ça ne lui faisait ni chaud ni froid.»
Une telle conduite est celle d’une psychopathe assurément.
Mais la question demeure quand même : si le père n’avait pas été le gardien de l’immeuble, s’il n’avait pas visionné les enregistrements des caméras de surveillance avant même l’arrivée de la police, aurait-on arrêté la coupable et retrouvé le corps de la fillette ? Après tout, un des amis de l’Algérienne est venu la chercher en voiture pour la conduire hors de Paris. D’après Public Dabhia aurait demandé de l’aide à un passant pour transporter la malle et lui aurait proposé de l’argent « qui proviendrait d’un trafic d’organes » selon ses dires. Si le passant avait accepté, le corps aurait bel et bien disparu.
Bizarrement, il n’existe en France aucun fichier national des enfants disparus. Comme c’est pratique !
Les enfants zouhri ?
Chut ! N’en parlons surtout pas, c’est très raciste !
A force de tolérance, de bienveillance, de politiquement correct et de pharisaïsme dégoulinant, nous sommes devenus des Eloïs, bouffés par les Morlocks à la satisfaction de ces derniers et la complicité de la sphère gauchiste.
Mais Benzema est ballon d’or, on a commémoré larme à l’œil le massacre d’Algériens d’il y a 61 ans, la CGT est dans la rue et le théâtre Antoine affiche complet.
Tout est donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Laurence Esbuiée©18 octobre 2022